Loi santé : une occasion de mettre de l’ordre dans les vaccins
Le groupe écologistes défendra dans quelques heures dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale trois importants amendements au projet de loi Santé : leur but est de renforcer les droits et le choix des patients en matière de vaccination. Ces amendements visent à faire en sorte que des vaccins contenant uniquement les valences obligatoires ou sans adjuvent à l’aluminium soient disponibles.
Alors que les vaccins ont rendu et rendent encore des services immenses à l’humanité, leur intérêt est mis en doute du fait de stratégies incompréhensibles de vaccinations forcées ou
d’ajout d’adjuvants dont l’innocuité n’est pas assurée. En effet, d’une part, les patients se voient administrer des vaccins non obligatoires au motif qu’il n’est pas possible de trouver des
vaccins ne contenant que les valences obligatoires et, d’autre part, il n’est plus possible de trouver de vaccins sans aluminium, dont la responsabilité est pourtant fortement suspectée dans
l’apparition de la myofascite à macrophage.
Les amendements écologistes n’avaient malheureusement pas été adoptés par la commission des affaires sociales lors de l’examen du projet de loi. Mais après la plainte portée par une famille sur l’obligation vaccinale et l’avis du conseil constitutionnel, les député-e-s écologistes ont décidé de les déposer de nouveau, pour l’étude du texte dans l’hémicycle.
Le débat est cette fois totalement ouvert, ce qui donnera la possibilité à l’assemblée nationale et au Gouvernement de mettre de l’ordre dans l’offre de vaccins en France.
Pour Eric Alauzet « La liberté de choix en matière vaccinale est essentielle. Nous devons donc permettre aux patients de pouvoir choisir de pratiquer uniquement les vaccins obligatoires et ce sans aluminium. Le conseil constitionnel ouvre la porte à des possible modification de la politique de vaccination lorsqu’il écrit que le législateur peut modifier les dispositions relatives à cette politique afin de tenir compte de l’évolution des données scientifiques, médicales et épidémiologiques ».
Pour Jean-Louis Roumegas « Il est officiellement reconnu que les sels d’aluminium sont neurotoxiques et qu’ils migrent dans le cerveau lorsqu’ils sont utilisés dans les vaccins (Inserm 2012). Il est donc nécessaire d’appliquer le principe de précaution. Le vaccin de base obligatoire sans aluminium était commercialisé jusqu’en 2008. Si aucun fabricant privé n’est disposé à le commercialiser à nouveau, il est du rôle de l’État d’assurer l’existence sur le territoire national d’un stock de vaccins répondant aux exigences sanitaires des populations. »
Les amendements du groupe écologiste devraient être examinés en séance en fin de journée ou demain matin.
Écrire commentaire
Commentaires : 2loic (samedi, 11 avril 2015 17:39)
Voila un amendement constryctuf des écologistes !
C’est bien mieuc que le soutien myope du tiers payant généralisé, ignorant les conséquences concrètes au profit de l’idéologie!
L’apport de l’écologie politique doit etre dans l’intelligence et le consensus sur ces sujets complexes et minés. On a déjà plein de directions de travail venant des scientifiques, intellectuels et associations.
Laissons nos lubies révolutionnaires et marchons les pieds sur terre !
Yves K (jeudi, 17 septembre 2015 18:14)
La question de l’aluminium dans les vaccins est essentielle car 100% de la population est concernée.
Si vous souhaitez avoir des réponses claires et étayées sur le sujet, la recherche, les conflits d’intérêts, le débat publique et ce qui concerne VOS vaccins ou si vous voulez vous mobiliser sur ce sujet et soutenir la recherche indépendante, vous pouvez vous rendre sur le site:
www.vaccinssansaluminium.org