Président de la commission d’enquête sur les missions et modalités du maintien de l’ordre républicain dans un contexte de respect des libertés publiques et du droit de manifestation, ainsi que de protection des personnes et des biens.
Co-Président du groupe d’études sur la question du Tibet.
Membre du groupe d’étude pêche de loisir et protection du milieu aquatique.
» Enfin une majorité de gauche en France, dotée d’un gouvernement qui donne la priorité au citoyen, qui préfère le groupe à l’individu, qui prône la solidarité contre la division.
Avec notre groupe à l’Assemblée, notre mission est d’intégrer fortement l’écologie dans les politiques publiques e de faire comprendre à nos alliés de la gauche traditionnelle qu’il est essentiel de s’inscrire dans une vision à long terme mais aussi de rompre avec les vieilles lunes de la pensée industrialiste.
La priorité doit être la transition énergétique pour laquelle la France ne peut plus attendre : elle doit être à la fois socialement juste et écologiquement profitable. Avec François de Rugy Annie Poursinoff et Yves Cochet, nous avions déjà travaillé sur la contribution climat-énergie, l’habitat coopératif, l’isolation des logements, l’efficacité énergétique …
A 17, notre force de persuasion sera accrue et tous ces textes ont enfin une chance d’être votés et mis en œuvre !
Quel beau défi pour les 5 ans à venir ! »
Marie de Bègles
77, rue Calixte Cannelle
B.P. 153
33321 Bègles
Tél : 05.56.49.91.68
ASSEMBLÉE NATIONALE
126, rue de l’Université
75007 PARIS
Tél : 01.40.63.01.59
Ses questions orales sans débat
Aujourd’hui 16 février, les députés sont appelés à se prononcer sur une nouvelle prolongation de trois mois de l’état d’urgence, après celle votée le 20 novembre dernier, une semaine après les attentats qui ont bouleversé notre communauté nationale. Les députés écologistes ne voteront pas pour cette nouvelle prolongation.
En indexant la durée de l’état d’urgence sur la menace terroriste et la mise hors d’état de nuire de Daech, le gouvernement prend le risque de transformer l’état d’urgence en régime permanent. Nous ne pouvons-nous y résoudre. Il est important de rappeler ici que l’état d’urgence écarte l’autorité judiciaire des procédures anti-terroristes, confiées à l’administration et à l’exécutif. Or les procédures judiciaires offrent des garanties dont sont dénuées les actions de l’administration. Cet état d’urgence dont l’efficacité est contestable constitue donc une entorse à l’État de droit qui doit rester exceptionnelle.
S’il nous semble essentiel de donner plus de moyens humains et matériels aux services de renseignements, à la justice et aux forces de l’ordre, nous rappelons que l’État de droit n’est pas un État de faiblesse. Nous renouvelons notre confiance dans les capacités de notre système judiciaire pour répondre au défi du terrorisme et dans les vertus de la République et de la démocratie.
Nous, députés écologistes, attachés à nos valeurs communes : liberté, égalité, fraternité, ne voterons pas la prolongation de l’état d’urgence convaincus que la France doit rester la patrie des droits de l’homme et que la défense de nos valeurs est la meilleure réponse à faire à ceux qui nous attaquent.
Laurence ABEILLE, Brigitte ALLAIN , Isabelle ATTARD, Danielle AUROI, Michèle BONNETON, Sergio CORONADO, Cécile DUFLOT, Noël MAMERE, Jean-Louis ROUMEGAS, Eva SAS
Il avait été au coeur des débats lors de l’examen de la loi Macron en première lecture, et il continue de faire débat lors de la seconde : l’article 29, qui réduit considérablement les possibilités d’obtenir la destruction de constructions illégales, concentre les critiques. Michèle Bonneton et quatre parlementaires écologistes s’en expliquent dans une tribune.