Membre de la délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes
Vice-Présidente des groupes d’études : Genre et droits des femmes à l’international – Industrie aéronautique – Intégration des personnes handicapées – Pauvreté, précarité et sans abri
Membre des groupes d’études : Amiante – Climatisme et thermalisme – Développement de la méthanisation – Gaz de schiste – Industries mécaniques – Maladies orphelines – Politiques de la ruralité – Prévention et lutte contre la toxicomanie – Prisons et conditions carcérales – Santé à l’école – Sidérurgie et fonderie
» Gestionnaire de clientèle et syndicaliste bancaire à Châtellerault, j’ai été élue députée de la 4ecirconscription de la Vienne.
C’est avec une émotion et un bonheur non dissimulés que j’ai rejoint les bancs de l’Assemblée nationale.
Née en Belgique, arrivée en France il y a une trentaine d’années, je regarde aujourd’hui le chemin parcouru avec fierté, mais je mesure également le travail qui m’attend.
A l’Assemblée d’une part, comme Secrétaire de la Commission chargée de vérifier et d’apurer les comptes, mais surtout au sein de la Commission des affaires sociales, qui aura à examiner le financement de la sécurité sociale.
Et, d’autre part, dans ma circonscription à laquelle il faut offrir un nouvel élan. Le développement économique sera le vecteur fondamental des actions à mener pour lutter contre la situation catastrophique du secteur industriel Châtelleraudais et en finir avec l’enclavement du Loudunais, territoire rural qui doit être dynamisé et notamment par le développement des services publics. »
Permanence Châtellerault
39/41 boulevard Blossac
86100 CHÂTELLERAULT
Tél : 05.49.21.88.79
Permanence Loudun
21 rue Carnot
86200 LOUDUN
ASSEMBLÉE NATIONALE
126, rue de l’Université
75007 PARIS
Tél : 01.40.63.49.92
Ses questions orales sans débat
Pendant trois ans et demi, à la tête du ministère de la Justice, Christiane Taubira a mené des combats justes et courageux, faisant face parfois à des attaques d’une rare indignité – venues de l’extrême droite et d’une partie de la droite réactionnaire.
Nous sommes fiers d’avoir accompagné son action au Parlement, que ce soit dans la redéfinition d’une politique pénitentiaire qui vise l’efficacité et non les coups de communication, dans sa réforme pénale, dans le respect scrupuleux de l’indépendance de la justice ou encore le renforcement des moyens du renseignement dans le strict respect du droit et des libertés individuelles. Et, bien évidemment, dans la reconnaissance de toutes les familles et l’ouverture du mariage aux couples du même sexe.
La création, en 2012, d’un groupe écologiste à l’Assemblée nationale avait constitué une étape dans l’affirmation, tant sur le plan local qu’au Sénat ou au Parlement européen, de l’écologie politique comme force montante dans la vie politique française. Cette représentation parlementaire avait été rendue possible par un accord politique avec les socialistes, accord validé par les électeurs et les électrices lors des scrutins de 2012. Elle avait logiquement conduit à la présence de ministres écologistes au sein du gouvernement.
Depuis 2014, et la rupture imposée par la sortie des ministres écologistes du gouvernement, force est de constater qu’une grande confusion règne dans l’expression de l’écologie au Parlement, comme dans la société. L’éloignement des responsabilités a conduit à une dérive contestataire et au final, au Parlement, à des positionnements très divergents au sein du groupe écologiste, à des votes très clivés sur les textes législatifs et budgétaires.
Regardons la réalité en face : si les député-e-s écologistes sont parvenus à préserver l’existence formelle d’un groupe écologiste, ce qui permet une participation pleine et entière au travail parlementaire, il y a aujourd’hui à l’Assemblée nationale, comme dans la société, deux écologies.