Membre du comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques (vice-président)
Mission d’information commune sur la banque publique d’investissement, bpifrance.
Membre des groupes d’étude : Alimentation et santé – Antisémitisme – Déchets ménagers
« Je suis Médecin, acupuncteur, une médecine qui appréhende l’homme dans globalité et dans son environnent ce qui m’a naturellement conduit chez les Verts en 1988.
J’ai été douze ans porte parole des Verts de Franche-Comté ; successivement conseiller municipal de Besançon, Conseiller régional de Franche-Comté, Adjoint au maire de Besançon en charge de l’énergie, des espaces verts, Président du syndicat de traitement des déchets, Vice président du Conseil général du Doubs en charge du logement.
Membre de la commission finances à l’Assemblée nationale, je suis particulièrement engagé pour une vraie réforme fiscale, la fiscalité écologique ; je suis rapporteur spécial sur la sécurité alimentaire.
Je suis les sujets où j’ai développé des compétences, notamment les déchets et le logement.
J’ai à cœur de concrétiser sur le territoire les emplois d’avenir et l’économie sociale et solidaire ainsi que l’éradication des produits chimiques toxiques qui détruisent nos rivières, la faune, la flore et menacent notre santé. »
Raphaëlle NDaw
Attachée parlementaire à l’Assemblée nationale
01 40 63 71 70
59 rue de Belfort
25000 Besançon
Tél : 09 67 23 39 91
ASSEMBLÉE NATIONALE
126, rue de l’Université
75007 PARIS
Pendant trois ans et demi, à la tête du ministère de la Justice, Christiane Taubira a mené des combats justes et courageux, faisant face parfois à des attaques d’une rare indignité – venues de l’extrême droite et d’une partie de la droite réactionnaire.
Nous sommes fiers d’avoir accompagné son action au Parlement, que ce soit dans la redéfinition d’une politique pénitentiaire qui vise l’efficacité et non les coups de communication, dans sa réforme pénale, dans le respect scrupuleux de l’indépendance de la justice ou encore le renforcement des moyens du renseignement dans le strict respect du droit et des libertés individuelles. Et, bien évidemment, dans la reconnaissance de toutes les familles et l’ouverture du mariage aux couples du même sexe.
La création, en 2012, d’un groupe écologiste à l’Assemblée nationale avait constitué une étape dans l’affirmation, tant sur le plan local qu’au Sénat ou au Parlement européen, de l’écologie politique comme force montante dans la vie politique française. Cette représentation parlementaire avait été rendue possible par un accord politique avec les socialistes, accord validé par les électeurs et les électrices lors des scrutins de 2012. Elle avait logiquement conduit à la présence de ministres écologistes au sein du gouvernement.
Depuis 2014, et la rupture imposée par la sortie des ministres écologistes du gouvernement, force est de constater qu’une grande confusion règne dans l’expression de l’écologie au Parlement, comme dans la société. L’éloignement des responsabilités a conduit à une dérive contestataire et au final, au Parlement, à des positionnements très divergents au sein du groupe écologiste, à des votes très clivés sur les textes législatifs et budgétaires.
Regardons la réalité en face : si les député-e-s écologistes sont parvenus à préserver l’existence formelle d’un groupe écologiste, ce qui permet une participation pleine et entière au travail parlementaire, il y a aujourd’hui à l’Assemblée nationale, comme dans la société, deux écologies.